Vendre une œuvre d’art !
Alors que la décision d’acquérir une œuvre d’art est toujours volontaire, celle de s’en séparer ne l’est pas nécessairement. En effet, dans la majorité des cas, le moment de vendre une œuvre d’art ne se commande pas et la décision de se séparer d’une œuvre sera plutôt imposée par les événements de la vie (déménagements, divorce, décès…). Cela dit, dans le cadre de la gestion active d’une collection, c’est sans contrainte que l’on prendra une telle décision, soit parce que l’on veut réorienter sa collection, soit parce que l’on manque de liquidités pour améliorer celle-ci, alors que le marché de l’art est justement favorable au type d’œuvre dont on souhaite se défaire.
Comme pour toute transaction impliquant une contrepartie financière, il est vivement conseillé de recourir aux services d’un professionnel. Les frais occasionnés par son intervention seront certes à déduire du bénéfice de l’opération, mais il saura en principe vous conseiller utilement, ce qui vous permettra de mieux valoriser votre bien et donc de le vendre plus cher.
Le choix du professionnel s’effectuera en fonction de son sérieux, de sa probité et de sa compétence en la matière. On ne s’adresse pas à une maison de ventes internationale pour vendre le tableau d’un artiste local: les frais occasionnés par l’envoi de l’œuvre à l’étranger ne se justifient pas et le prix de vente risque d’être inférieur à ce qu’il serait sur le marché national. De même, on ne se fait pas conseiller par un brocanteur pour un meuble important, comme on ne demande pas à un grand antiquaire son avis sur une assiette en faïence… Chacun a son créneau. Insistons enfin pour que le conseil soit véritablement professionnel, c’est-à-dire donné par une personne ayant pignon sur rue et faisant officiellement profession du négoce. L’amateurisme peut parfois coûter très cher…
Il est également important d’investir ce professionnel de toute votre confiance. Le marché de l’art ayant la réputation d’être opaque, nombreux sont ceux qui jettent l’opprobre sur toutes les professions qui lui sont directement ou indirectement liées. Si la méfiance est naturellement de mise, elle ne doit pas devenir la préoccupation principale du vendeur. Au contraire, la relation d’étroite confiance doit permettre une meilleure coordination des efforts. Combien de vendeurs ne compromettent-ils pas la vente de leur pièce en demandant avis à gauche et à droite, en écoutant tout le monde et surtout n’importe qui?
La société Blavignac Auctions vous assiste dans le domaine de la vente d’une œuvre d’art, soit en se chargeant directement de son négoce, de gré à gré ou aux enchères, soit en vous conseillant une maison de ventes (nationale ou internationale) auprès de laquelle elle estime que vous en obtiendrez le meilleur prix. N’hésitez pas à nous contacter. Nous envisagerons ensemble la solution optimale, et ce en toute confidentialité.
BLAVIGNAC AUCTIONS
Alors que la décision d’acquérir une œuvre d’art est toujours volontaire, celle de s’en séparer ne l’est pas nécessairement. En effet, dans la majorité des cas, le moment de vendre une œuvre d’art ne se commande pas et la décision de se séparer d’une œuvre sera plutôt imposée par les événements de la vie (déménagements, divorce, décès…). Cela dit, dans le cadre de la gestion active d’une collection, c’est sans contrainte que l’on prendra une telle décision, soit parce que l’on veut réorienter sa collection, soit parce que l’on manque de liquidités pour améliorer celle-ci, alors que le marché de l’art est justement favorable au type d’œuvre dont on souhaite se défaire.
Comme pour toute transaction impliquant une contrepartie financière, il est vivement conseillé de recourir aux services d’un professionnel. Les frais occasionnés par son intervention seront certes à déduire du bénéfice de l’opération, mais il saura en principe vous conseiller utilement, ce qui vous permettra de mieux valoriser votre bien et donc de le vendre plus cher.
Le choix du professionnel s’effectuera en fonction de son sérieux, de sa probité et de sa compétence en la matière. On ne s’adresse pas à une maison de ventes internationale pour vendre le tableau d’un artiste local: les frais occasionnés par l’envoi de l’œuvre à l’étranger ne se justifient pas et le prix de vente risque d’être inférieur à ce qu’il serait sur le marché national. De même, on ne se fait pas conseiller par un brocanteur pour un meuble important, comme on ne demande pas à un grand antiquaire son avis sur une assiette en faïence… Chacun a son créneau. Insistons enfin pour que le conseil soit véritablement professionnel, c’est-à-dire donné par une personne ayant pignon sur rue et faisant officiellement profession du négoce. L’amateurisme peut parfois coûter très cher…
Il est également important d’investir ce professionnel de toute votre confiance. Le marché de l’art ayant la réputation d’être opaque, nombreux sont ceux qui jettent l’opprobre sur toutes les professions qui lui sont directement ou indirectement liées. Si la méfiance est naturellement de mise, elle ne doit pas devenir la préoccupation principale du vendeur. Au contraire, la relation d’étroite confiance doit permettre une meilleure coordination des efforts. Combien de vendeurs ne compromettent-ils pas la vente de leur pièce en demandant avis à gauche et à droite, en écoutant tout le monde et surtout n’importe qui?
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Marc Gaudet-Blavignac & Alexandre Ding
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Tél.: 022 329 99 63 Portable : 078 816 46 92
Fax: 022 594 81 12
E mail : info@blavignac.com
Web : www.blavignac.com
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